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François DE GASPERI
Doctorant
ENS de LyonTitre de la thèse : Entretenir la ville en commun(s) : pour une géopolitique du care spatial en actes à Lyon et Madrid. Directeur de thèse : LUSSAULT Michel.
Téléphone professionnel: 0640209875work
Courriel professionnel: francois.de-gasperi@ens-lyon.frINTERNET
Site internet: École urbaine de Lyon
Entretenir la ville en commun(s) : pour une géopolitique du care spatial en actes à Lyon et Madrid.
THÈMES DE RECHERCHE
care ; communs ; entretien ; réparation ; attention ; quartier ;
François De Gasperi a 26 ans. Il réalise actuellement sa thèse de doctorat au sein de l’Ecole urbaine de Lyon et est rattaché au laboratoire Environnement Ville et Société, au sein de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon.
Il s’est intéressé, au cours de sa formation, au champ de la géographie sociale et urbaine au sein de l’ENS de Lyon et aux questions liées à la fabrique de la ville et des territoires en suivant un Master de Stratégies territoriales et urbaines à SciencesPo Paris.
Il s’est intéressé, au cours de sa formation, au champ de la géographie sociale et urbaine au sein de l’ENS de Lyon et aux questions liées à la fabrique de la ville et des territoires en suivant un Master de Stratégies territoriales et urbaines à SciencesPo Paris.
Ses recherches actuelles se concentrent sur la thématique du “care” qu’il cherche à transposer en urbanisme. Pour ce faire, il s’intéresse aux notions d’attention, de soin et de réparation d’espaces urbains gérés en commun ainsi qu’aux nouvelles formes de solidarité en ville (réseaux d’entraide, militantisme ordinaire à l’échelle du voisinage). Résolument qualitative, sa recherche prend la forme d’une ethnographie et se propose d’observer les actes concrets et quotidiens de citadins reconnus dans leur capacité d’expertise habitante. Engagée et expérimentale cette thèse de doctorat l’invite à participer aux côtés d’habitants à la redynamisation de certains espaces aujourd’hui peu entretenus.
Depuis sa rue, il interroge la notion d’entretien et cherche à comprendre en quoi le fait d’entretenir un espace en commun permet avant tout d’entretenir l’espace du commun, l’espace qui se “tient entre”.